Aujourd'hui, Renaud et Julien prennent le volant de la toute nouvelle DS N8, le nouveau fleuron 100% électrique de la marque. Dans sa configuration "toutes options", ce modèle frise les 80 000 €. Est-il à la hauteur de ses ambitions premium ? Nous décortiquons pour vous son design, ses technologies et son agrément de conduite sur les routes d'Île-de-France.
🛠️ Au programme de cet essai : Le savoir-faire français : Nous partons à la rencontre de Lemoyne Sellerie, artisan sellier de talent en Île-de-France, pour parler matières et finitions d'exception. Rencontre avec le Commandant Châtel : Un échange passionnant sur l'automobile et l'élégance. Test 100% Électrique : Autonomie, puissance et confort de ce nouveau châssis.
✨ FÊTES DE FIN D'ANNÉE ✨ Toute l'équipe vous remercie pour votre fidélité tout au long de cette année. Nous vous souhaitons d'excellentes fêtes de fin d'année à tous, chers abonnés ! Profitez bien de vos proches et on se retrouve très vite pour de nouvelles aventures. 🎄🎁




L’avis des Petits Observateurs
2 commentaires au sujet de « Essai DS N° 8 : le luxe électrique à la française »
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La silhouette extérieure apparait séduisante, statutaire, les angles aigus et obtus sont au menu, ils sont contrebalancés par les énormes passages de roues demi-circulaires. Abstraction faite de la calandre virtuelle, illuminée comme à noël, kitsch, attrape-asiatiques, l’attaque frontale du bestiau est massive, abrupte, alors que la retombée d’échine fuit en douceur, en subtilité jusqu’à la poupe, ciselée comme un diamant…
L’imposante hauteur de flancs, gommée par d’épais bas-de-caisse noirs, trahit une garde au sol faible, efficiente pour l’aérodynamique à haute vitesse mais pénalisante en terrain meuble (où es-tu mon vieux LHM ?), péjorant l’aptitude des quatre roues motrices.
L’intérieur tendu de cuirs clairs trop parfaits reprend de concert ce maniérisme d’angles furtifs qui impose des accostages au cordeau à priori biens maitrisés. Dommage que là encore, quelques effets kitsch de simili alu perforé et illuminés (avant de la console centrale, hauts de panneaux de portières avant), focalisent l’attention et viennent rompre l’harmonie générale.
Le reste est question de perception globale d’une industrie automobile européenne finissante, qui, pour affronter de profondes mutations, a voulu opérer, par fusions, acquisitions, regroupements, des économies d’échelles au profit de la conservation des marges, quitte à faire perdre tout sens aux marques originelles, ce dont le consommateur n’était pas censé se rendre compte et dont l’industrie comprend aujourd’hui que ce n’était pas la bonne stratégie…
Nabu
Samedi 27 décembre 2025 à 10h06
Comme le dit le Président , une version moins lourde, avec des pneus moins sportifs constituera probablement un meilleur choix. Mais l'accumulation d'effets de style, sans unité me laisse de marbre. Et probablement pour une somme plus de proche de 85 k€ ( version Étoile 74,9 long range + couleur cristal pearl 1,3 + cuir Nappa 2,35 + jantes 21' 1,1 + pack confort absolu 2,5 + pack tech absolu 1,35 + toit panoramique feuilleté 0,8 : 84,3 k€ sur le configurateur. Ça ferait vraiment très très mal de débourser un tel montant pour un produit biscornu, à l'infotainment dépassé.
Samedi 27 décembre 2025 à 19h52