Souvenirs d'Autos

Souvenirs d’Autos (353): La Pantera de Johnny

Écrit par

Thibaut Chatel (Commandant Chatel, Petites Observations Automobiles)

 

Par le Commandant Chatel. 1972, Johnny Hallyday s’offre une Pantera De Tomaso, grise, à moteur Ford Cleveland V8 de 5.8 litres développant 248 cv. Un véritable avion de chasse.

Exclu communauté POA : un lavage programme 5 (valeur 17 euros) offert pour un premier achat de 35 euros avec le code POA35 !

Vendredi 3 décembre 2021


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Photo Thibaut

Thibaut Chatel Petites Observations Automobiles - Commandant Chatel

Alias "Commandant Chatel"  de POA.

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Illustration - permis johny
permis johny

En mai, il descend avec au Festival de Cannes et… il la plante !

Peu importe, il en récupère une autre, rouge cette fois, quelques jours plus tard. Très heureux, il rentre chez lui, avenue du Président Wilson dans le chic XVIe arrondissement de Paris.

Alors que la nuit tombe et qu’il fume une Gitanes sur le balcon, il voit quatre gamins un peu éméchés, juchés sur le toit et le capot de sa voiture !

Furieux, Johnny court à la cuisine, rempli un seau d’eau froide et… le jette sur ces gamins impolis… qui filent sans demander leur reste.

Moralité : Tu NE montes PAS sur la bagnole du taulier !

C’est compris ?

Petit bonus : la fameuse Pantera rouge a été vendue aux enchères il y a peu de temps…

Cette rubrique est aussi la vôtre !

Racontez vos anecdotes au Commandant Chatel par mail (thibautchatel@icloud.com), il se chargera de les publier. N’oubliez pas que pour « Souvenirs d’Autos » nous cherchons de l’anecdote, de l’humain, de l’humour, de l’émotion.

On oublie un peu l’arbre à came et le Weber double-corps…

Et si possible, joignez à votre histoire des photos….

On adore ça chez POA !

Merci.

L’avis des Petits Observateurs

7 commentaires au sujet de « Souvenirs d’Autos (353): La Pantera de Johnny »

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Bonjour. J'ai eu l'immense plaisir de faire un tour pendant un petit quart d'heure sur le siège passager dans la Pantera d'un restaurateur à Sully sur Loire en 1975... Un souvenir presque aussi inoubliable que cette "promenade" à 200 km/h sur la N7 vers Montélimar au milieu des années 60 dans la Maserati Quattroporte d'un patron de flotte de transport de carburant. Johnny ne pouvait naturellement pas emmener les gamins faire un tour mais s'il l'avait fait je suis persuadé que les mômes n'auraient plus jamais fait ce genre de bêtise.

Vendredi 3 décembre 2021 à 16h40

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Sylvie qui avait traversé deux ans plus tôt le pare-brise d'une DS 21 Pallas conduite par Johnny, avait sans doute préféré rester au 48 en compagnie de son kiné favori, Jean-Chrysostome...
C'est formidable de revivre les instants bagnolards de nos idoles à travers les récits enlevés de notre Commandant Chatel, toujours sur le pont quand il s'agit de pêcher une tranche de vie, un détail croustillant de quelques monstres sacrés....

Vive le vendredi, vive SDA !
😉

Vendredi 3 décembre 2021 à 18h59

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En réponse à Nabu C

Johnny, tu n'es pas un ange,
Ne crois pas que ça m'dérange...
♪♫
Johnny, tu n'es pas un ange
Entre nous, qu'est-ce que ça change?
L'homme saura toujours trouver toutes les femmes du monde entier
Pour lui chanter ses louanges
Dès qu'il en sera lassé elles seront vite oubliées
Vraiment, vous n'êtes pas des anges
Johnny! Johnny!
Depuis que le monde est né
Johnny ! Johnny !
Il faut tout vous pardonner
Ah! Johnny !
(Francis Lemarque - Les Paul).

Samedi 4 décembre 2021 à 10h22

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Ah le taulier et ses aventures en bagnole !
Il y a sans doute de quoi remplir des carnets entiers de souvenirs.
Enfant puis ado, ces bagnoles rares nous faisaient rêver. Nous avions un loisir dans les 70's je me souviens; filer au tabac-presse et passer des heures à feuilleter les revues (sous l’œil agacé du marchand) .

Samedi 4 décembre 2021 à 11h10

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"_Ma mère, ronde et petite en ce temps où l'âge ne l'avait pas encore décharnée. Elle scrutait la verdure massive, levait la tête et jetait par les airs son appel : « Les enfants ! Où sont les enfants ? » Où ? nulle part. L'appel traversait le jardin, heurtait le grand mur de la remise à foin, et revenait, en écho très faible et comme épuisé : « Hou, hou... enfants ? » Nulle part. Ma mère renversait la tête vers les nuées, comme si elle eût attendu qu'un vol d'enfants ailés s'abattît. Au bout d'un moment, elle jetait le même cri, puis se lassait d'interroger le ciel, cassait de l'ongle le grelot sec d'un pavot, grattait un rosier emperlé de pucerons verts, cachait dans sa poche les premières noix,
hochait le front en songeant aux enfants disparus, et rentrait." (Colette)

Dimanche 5 décembre 2021 à 14h11

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